En France vous pouvez vous faire arrêter pour rien sous prétexte que la police a un quota à respecter et que arrêter les criminels leurs fait peur, ils arrêtent quelqu’un dans la foule simplement parce qu’il ne parait pas dangereux, déjà que la ça ne choque personne mais on le met dans une cellule degueulace digne des chambre de tortures du moyen-âge dont le gouvernement essayent de faire croire que ça n’existe pas alors que les criminelles sont dans des cellules digne d’un hôtel 4 Etoiles, mais le pire c’est que la police demande à la victime de reconnaitre sa culpabilité et d’accepter une petite peine pour une infraction qu’il n’a pas commise qui peut être du sursis et une amande de plusieurs milliers d’euros si il a la chance de pas faire de prison, bien sûr il a le choix de refuser mais la police lui fait bien comprendre que si il refuse il risque sa vie.
Alors quand des jeunes de banlieue jettes des cocktails Molotov sur la police, en tant que français je pourrais dire que les jeunes de banlieue sont des terroristes qui ne respecte riens, mais peut-être que se sont tout simplement des citoyens qui un jour se sont fait arrêter pour des quotas et ont été condamnés pour avoir été au mauvais endroit au mauvais moment et quand vous avez vécus ce que j’ai dit au début quand vous voyez un flic vous n’avez pas envies de lui faire la bise, si la police était humaine on aurais pas envies de la détruire
Cet article et la réalité que les Bobo Français lobotomisé refusent de voir, la police n’est pas là pour protéger le peuple mais bien pour créer un climat de haine permanent qui permet de cacher les projets sataniques de notre gouvernement.
La police et la pour faire disparaitre toutes personnes qui possèderait assez d’intelligences pour se rendre compte que ce que je dis et vrais et le faites qu’ils ai essayer de me faire disparaitre montre bien à quelle point je dis la vérité, leurs mission et aussi d’empêcher tout acte de courage ou tout actes qui pourrais parler ou amener à faire réfléchir ou a amener a la paix ou aider les pauvres dans le monde.
J’ai aidé les pauvres à Marseille, j’ai participé à la mise en place de concert pour la paix dans le monde, j’ai participé à des évènements pour la faims dans le monde et depuis j’ai des emmerde pas possibles, coïncidences ou confirmation de ce que je dis.
Ils ont tué Coluche, Balavoine, Charlie et tant d’autres en accusant les musulmans et vous vous accepter ça, c’est tellement plus faciles que d’admettre que les gens bien sont assassiné avec vos impôts, ce qui arrange bien la police car les musulmans sont en colère d’en avoir marre qu’on les accusent de nos crimes et se vengent en jetant des cocktails Molotov sur la police qui réplique en disant, « vous voyez ont avait raison les musulmans sont des terroristes », la boucle et bouclé, la haine et en marche et plus personne ne sais pourquoi et qui a commencé, reste plus que 2 fins possible, la guerre ou la révolution, seul différence si c’est la guerre on sera avec la police et si c’est la révolution on leur coupera la tête, mais pour le gouvernement ça ne changera rien ils seront en Angleterre mort de rire en voyant comme leur plant a bien fonctionnés et que vous étes vraiment que des cons qui vont mourir comme des cons car n’oubliez pas que dans leurs plants qu’ils ne cache même pas tellement vous êtes cons ils sont sur que vous n’y croirez jamais, et leur plants c’est qu’il ne doit rester que 500 millions d’humains sur cette terre, quelle et la probabilité que vous en faisiez partis, que celui qui sais calculer calcule car c’est un nombre d’homme, ce nombre et le 666.
LETTRE À UN (AMI) FLIC.
J’ai hésité à t’écrire parce que j’ai longtemps cru que tu finirais par comprendre.
Je me rends aujourd’hui à l’évidence : tu ne le veux pas.
Tu le pourrais pourtant, mais tu ne le veux pas.
Ces morts, ces éborgnés, ces amputés, ces blessés à vie, tu ne veux pas les voir.
Ce sont pourtant des gens comme toi, qui ne pensaient qu’à leur famille, à leur avenir, à leur retraite.
J’allais demander de quelles œillères on a équipé ton casque pour que tu ne les voies pas, et je comprends que c’est pire.
Tu n’as pas d’œillères...
C’est toi qui as choisi de ne pas voir. Malgré les centaines de vidéos évidentes, malgré l’ONU qui demande une enquête sur tes méthodes, malgré les démocraties européennes qui alertent sur ta violence, tu as choisi de ne pas réfléchir.
Tu frappes comme on te le demande, arguant d’une excuse de sinistre mémoire.
Tu obéis aux ordres !
Ouvre juste un livre d’histoire pour apprendre qui, par le passé, a osé se défendre comme ça. Parce que dans l’histoire, tu viens d’y entrer.
Jamais en 40 ans toi et les tiens n’ont été aussi violents. Jamais autant de blessés.
Jamais une telle sauvagerie.
Tu as gazé des hôpitaux et des enfants, tué et fracassé de vieilles femmes, brisé à jamais de jeunes vies et tu as envoyé par milliers en prison de pauvres gens qui se battaient pour leur survie.
Alors oui, on te hait maintenant, et pour longtemps, et ça par contre, je sais que tu le comprends. Même si tu clames haut et fort qu’en d’autres temps on t’applaudissait en héros. Mais c’est juste qu’en ces temps-là tu faisais, en héros, ton vrai métier au service du peuple.
Tu ne te comportais pas en milicien au service d’un pouvoir corrompu et d’un ministre voyou. Et ne viens pas me dire que l’un compense l’autre.
Tu faisais ton métier avec grandeur et courage, et maintenant tu n’es qu’un milicien vil et servile. Et l’un n’excusera jamais l’autre.
Te rends-tu compte à quel désespoir et à quelle colère il a fallu que tu pousses ces gens pour qu’ils te crient de te suicider ?
Bien sûr c’est outrancier, mais c’est toi qui as mis sur le devant cet argument, en laissant entendre que ton métier est si dur et si méprisé qu’il a poussé nombre de tes camarades au geste fatal. Mais qui l’a rendu comme ça, ton métier, sinon ton ministre et ta hiérarchie à qui tu obéis aveuglément encore ?
Les gens que tu frappes avec hargne ne sont en rien responsable de la mort de tes camarades.
Leurs assassins, ce sont ceux qui te désespèrent dans des commissariats délabrés, qui te sous équipent au quotidien, qui dépensent des millions pour acheter des centaines de milliers de munitions pour des dizaines de milliers d’armes de guerre à retourner contre nous, au lieu d’investir ces millions pour améliorer tes conditions de travail. Et qui t’obligent à appliquer leurs stratégies suicidaires depuis leurs bureaux dorés.
Mais tout ça, tu le sais, n’est-ce pas ?
C’est juste que tu ne veux pas le reconnaître parce que ce serait admettre que ton silence fait de toi le complice par omission de la mort de tes camarades désespérés.
Pourtant je vois bien, quand je croise ton regard dans une manifestation ou un salon, que tu réalises à quel point ceux de la BAC et des BRAV, entre autres, sont des voyous déchaînés avides de violence.
Je la vois ta gêne. Ta honte quelques fois.
De leurs gestes obscènes, de leurs insultes sexistes et racistes, de leurs commentaires haineux, de leur joie non dissimulée quand ils mutilent, à commenter le bel impact de leurs tirs.
À huit contre un, les vidéos existent, sur des femmes à terre tirées par les cheveux, contre des handicapés en chaise roulante, ne me dis pas que c’est ça, ton métier.
Que c’est l’idéal pour lequel tu l’as choisi. Parce que si c’est ça, alors notre haine est justifiée et ne se tarira plus.
Et ne crois pas qu’en mettant ton honneur et ton humanité de côté, tu t’en tireras mieux que nous. D’une part parce que la haine accumulée rendra ton métier encore plus désespérant, mais surtout parce qu’un fois qu’il t’aura fait faire le sale boulot, le pouvoir se débarrassera de toi.
Les régimes totalitaires ont toujours fait ça : purger leurs forces de répression pour les maintenir dans un équilibre de la terreur en interne, en ne gardant que les pires. Donc soit tu vendras ce qui te reste d’âme au pire, soit tu te retrouveras comme nous, face au pire. Mais sans nous à tes côtés
Donc, voilà où nous en sommes, toi et moi.
Ça sera mon seul courrier, et c’est ta dernière chance. Tu dois rejoindre le mouvement, sinon le pouvoir nous asservira tous les deux à jamais.
La voilà ta chance de redevenir un héros.
Rejoins-nous. À ta façon, mais de manière visible, publique, fière, courageuse.
Relis bien cette lettre, et pense à quel être humain tu veux ressembler.
Nous avons été violents tous les deux, c’est vrai, mais rejoins ceux qui l’ont été pour défendre les leurs, leur vie, leur survie, et pas un régime totalitaire, arrogant et corrompu.
Reprends ton libre arbitre. Libère-toi. Rejoins-nous.
En rangent mon ordi je retrouve des lettres de l’absurdité des fonctionnaires comme celle-là.
C’était en 2007 et le problème était simple mon propriétaire augmente le loyer d’une manière excessif et interdit, ce qui était pas prévu alors je demande une aide pour cette arnaque.
A noter que l’APL a toujours était verser au proprio et je ne vois vraiment pas le rapport faudrait arrêter la drogue.
Apres avoir reçu ce courrier et après avoir bien vérifier qu’elle ne venait pas d’établissements de psychiatries je vais voir la pétasse, je veux dire l’assistante social (désolé c’est l’habitude) et cette pétasse, (oui bon ! je sais mais j’arrive pas à mentir, même mon clavier ne veut pas écrire autre chose) je disais donc cette pétasse pour me sortir de la merde et pour régler se problème me propose d’échanger mon F3 contre un studio a 100 euros de plus, j’avais pas de fusil ce jour-là et c’est pour cette raison que j’écrits pas depuis une prison.
Bien sûr j’avais demandé à la pétasse comment je vais faire pour payer un loyer plus cher si en plus je peux plus travailler vu que si j’avais un F3 c’est parce que j’avais le bureau de mon entreprise avec, la pétase me répond que je suis un homme donc je peux me démerder en faisant du trafic de drogue par exemple.
C’est à partir de ce moment que je commençais à penser à partir à Marseille.

Le pire c’est qu’ils ont remis ça en 2009, super collé copier

La c’est bon je prepare mon demenagement pour Marseille
Page 1 sur 2