«Je ne regarde pas dans la tête d'Anthony Fauci. Je ne regarde pas dans la tête de Bill Gates. Je ne dis pas qu'ils ont fait ça parce qu'ils étaient cupide ou parce qu'ils étaient manipulateur.
Je dis juste ce qu'ils ont fait et l'histoire parle d'elle-même. Et vous savez que c'est vraiment l'histoire de personnes ayant eu un comportement vraiment terrible, immoral, homicide et criminel.
Un poste au gouvernement que Fauci a occupé pendant cinquante ans sans aucune élection, pour soutenir ces contrôles totalitaires qui n'étaient pas basés sur la science et que tout le monde admet maintenant qu'il n'y avait pas de science. L'avocat de la FDA a admis qu'il n'y avait aucune raison de décourager les gens de prendre de l'ivermectine. L'ivermectine était un remède très dévastateur contre la COVID, il a littéralement anéanti la COVID.
Et vous savez, en privant les gens d'ivermectine, des millions de personnes dans le monde sont mortes.
Il y avait des remèdes contre la COVID dès le premier jour et des remèdes très efficaces. Mais ils ne voulaient pas ça. Ils n'en avaient pas besoin. Ils voulaient seulement le vaccin. Et il y avait une règle, vous savez, une règle fédérale peu connue, dont ils étaient tous au courant, qui stipulait qu'on ne pouvait pas délivrer une autorisation d'utilisation d'urgence pour un vaccin s'il existe un remède existant qui a déjà été approuvé pour une utilisation quelconque. Tout le projet de vaccin aurait échoué. Ils n'auraient pas pu le faire.
Ils ont donc décidé de faire comme s'il n'y avait pas de remède à part le vaccin. Et ils ont donné aux gens un produit qui n'avait pas été correctement testé. Et maintenant, nous avons toute une génération d'enfants qui souffrent de myocardite, ces terribles problèmes cardiaques chez les jeunes sportifs. On voit tellement d'enfants mourir sur les terrains de sport. C'est vrai, et on n'avait jamais rien vu de tel auparavant. En moyenne, je pense que 29 athlètes par mois dans le monde mouraient sur le terrain. Et on en est maintenant à des centaines par mois. Il faut encore faire des comptes.
Les médias grand public n'ont pas encore rattrapé cette science. Mais la science est désormais disponible et elle est dévastatrice.»